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« Prendre conscience que tout animal, quelle que soit sa taille, ou son apparence, possède le droit le plus fondamental propre à chaque être vivant sur cette terre : le droit de vivre. » Damien KUNEGEL (webmaster de Mygales du monde) |
« L'homme croit quelquefois qu'il a été créé pour dominer, pour diriger. Mais il se trompe. Il fait seulement partie du tout? L'homme n'a ni pouvoir, privilèges, seulement des responsabilités » - Oren Lyons (chef indien iroquois) |
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Nous remplaçons leur liberté par mille formes de captivité, sans bien-être, avec une mort cruelle et prématurée comme seule délivrance.
Nous les élevons dans d'ignobles conditions carcérales - un élevage qui pollue et dénature irrémédiablement la terre. Nous retirons leurs petits à des mères déchirées, l'instinct maternel est méprisé pour le profit. Ils sont transportés entassés, tués à la va-vite et sous les yeux de leurs congénères terrorisés.
Le droit du plus fort justifie-t-il que nous prenions leur vie, leur chair pour flatter notre palais ?
Nous les offrons à Noël comme des jouets. Nous prenons plaisir à voir se reproduire nos animaux familiers, voulant ignorer que des centaines de milliers d'entre eux finiront euthanasié chaque année en France.
Nous expérimentons sur eux, le plus souvent sans anesthésie et pour des résultats douteux ou erronés, surtout en toxicologie, alors qu'il existe des méthodes scientifiques fiables tels les tests in vitro. À qui cela profite-t-il
Au zoo, nous exhibons la détresse du lion et celle de l'ours se balançant sans cesse dans sa cage. Au cirque, à coups de fouet, nous les dressons à faire des pitreries. Ah ! si nos enfants savaient les souffrances qui se cachent derrière les habits et les farces !
Sous de fallacieux prétextes d'art ou de tradition, nous faisons de la mort des coqs et des taureaux un divertissement. Et à la chasse, l'animal-cible est aussi un amusement pour les brutes.
Nous, faisons ou encourageons le commerce des chiens et des chats mais aussi le négoce et donc le trafic des animaux exotiques, pour la frime. Forêts vides, cages pleines…
Au XXIe siècle, nous utiliserons encore leurs peaux et les poils pour nous vêtir ; pourtant l'homme ne vit plus accroupi dans une caverne, et il a un choix immense de matières belles et confortables.
Chacun de nos actes a des conséquences sur le sort des animaux espèces qui disparaissent, individus qui souffrent. Prenons-en conscience, ouvrons notre esprit et notre cœur pour vaincre la force de l'habitude. En choisissant une vie sans cruauté, nous contribuons vraiment à changer les choses.
Source : One Voice